- Qu’elle soit belle et rayonnante,
La joie de notre cœur!
La joie de notre cœur!
Qu’elle s’élève et qu’elle chante,
La gloire du Seigneur!
La gloire du Seigneur!
Des quatre coins de notre terre,
De chez nous et d’ailleurs…
Que tout un peuple en sa prière,
Célèbre son Pasteur.
Célèbre son Pasteur.
- Fruits de la terre, de la vigne
Et du travail humain…
Et du travail humain…
Existe-t-il de plus beaux signes
Que ce pain et ce vin?
Voici le pain qu’il nous partage :
Son corps livré pour nous.
Voici la coupe du passage :
Son sang versé pour nous.
Son sang versé pour nous.
- Quand l’heure vint d’aller au Père,
Pour aimer jusqu’au bout,
Pour aimer jusqu’au bout,
Lui le Seigneur et lui le Maître,
Il se mit à genoux.
Il se mit à genoux.
Lavant les pieds de ses apôtres
Il dit : À votre tour,
Faites de même l’un pour l’autre,
Et servez par amour!
Et servez par amour!
- Depuis ce geste inoubliable
Inscrit dans notre cœur,
Inscrit dans notre cœur,
Nous refaisons à cette table
Mémoire du Seigneur.
Mémoire du Seigneur.
Et bien souvent… malgré l’absence,
Nous l’avons reconnu
Au cœur brûlant d’une présence
Et dans le pain rompu.
Et dans le pain rompu.
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- Le Père a tant aimé le monde
Qu’il a donné son Fils…
Qu’il a donné son Fils…
Afin que la vie surabonde
Au souffle de l’Esprit.
Au souffle de l’Esprit.
C’est dans l’Esprit qu’il nous transforme
Pour faire eucharistie
Quand nous offrons notre personne
Par lui et avec lui.
Par lui et avec lui.
- En lui, l’Alliance est bien plus grande
Que celle d’autrefois.
Que celle d’autrefois.
Il est le prêtre, il est l’offrande
Et l’autel à la fois.
Et l’autel à la fois.
Pour accomplir toute justice
et vaincre en nous la mort,
Nul autre don ni sacrifice
Que celui de son corps.
Que celui de son corps.
- Sans tout saisir, sans tout comprendre,
Et sans même le voir,
Et sans même le voir,
Le contempler… et puis l’attendre
Jusqu’à le recevoir!
Jusqu’à le recevoir!
Bien au-delà des apparences
C’est bien le pain de Vie
Qui, sur nos routes d’espérance,
Réconforte et nourrit.
Réconforte et nourrit.
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